La Responsabilité Sociale et Environnementale (RSE) n’est plus une option pour les entreprises : quel que soit leur secteur d’activité, elles s’y mettent. Et elles ont raison. Au-delà de l’engagement moral, une politique RSE est, entre autres, un atout de taille pour le business : les grands groupes, qui doivent faire preuve de transparence à ce sujet, privilégient les prestataires qui leur permettent de diminuer leur empreinte environnementale. Faire rimer responsabilité sociale et environnementale avec compétitivité économique, c’est donc possible.
Mais une politique RSE bien huilée ne se construit pas en appuyant sur un bouton : par exemple, les compétences sur le sujet se font rares. Toutes les entreprises n’ont pas les moyens financiers d’acquérir les talents nécessaires. Les profils recherchés – ingénieurs ou financiers – coûtent cher et sont très demandés. Pour les plus petites structures, des solutions existent pour s’équiper ou se mettre à niveau à moindre coût.
Quand on parle de RSE, on visualise les engagements sociaux et environnementaux des entreprises. Ceux-ci se traduisent en opportunités économiques, en séduisant collaborateurs, consommateurs et grands groupes.
Les normes RSE poussent les entreprises à adopter des comportements responsables. Mais derrière les avancées sociales et environnementales, il y a parfois des considérations stratégiques qui peuvent être pénalisantes. Éclairages de l’économiste Dominique Guellec.
À mesure que de nouvelles normes RSE voient le jour, les PME doivent rester vigilantes : elles vont désormais devoir communiquer « comme les grandes » sur leurs engagements. Pour rester dans la course, elles n’auront pas d’autre choix que de se doter de nouveaux talents.
Quand on parle de RSE, on visualise les engagements sociaux et environnementaux des entreprises. Ceux-ci se traduisent en opportunités économiques, en séduisant collaborateurs, consommateurs et grands groupes.
Les normes RSE poussent les entreprises à adopter des comportements responsables. Mais derrière les avancées sociales et environnementales, il y a parfois des considérations stratégiques qui peuvent être pénalisantes. Éclairages de l’économiste Dominique Guellec.
À mesure que de nouvelles normes RSE voient le jour, les PME doivent rester vigilantes : elles vont désormais devoir communiquer « comme les grandes » sur leurs engagements. Pour rester dans la course, elles n’auront pas d’autre choix que de se doter de nouveaux talents.
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